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Ma missive d'amitié (redif)

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Ma missive d'amitié (redif)

Hier, tu m'as quitté sans penser à ton copain,
En écrivant ici la belle romance de ton amour,
Une composition que ta maîtresse aurait lue en vain,
De ces termes que je transforme par humour.

Comme d'habitude, je ressens ton esprit langoureux,
Mon chapeau d'alors se déplume, il n'est plus de mon âge,
Je n'veux pas que tes écrits s'arrêtent, pour moi petit vieux,
Vaines étaient d'abord mes recherches pour que j'ancre tes vœux sages.

Ma sœur, garde la fenêtre ouverte pour mes petits écrits,
Mon air souffrirait si tu ne me faisais ce petit don,
Ma foi me prédit d'enlever de tes malheurs, toutes notions,
Echappant ainsi sur ta page aux mécréants que tu fuis.

Tu voulais rester seule sans vouloir me distraire,
A la faveur de mes tâtonnements, je me sentais en soute,
Perdant ainsi toutes mes armes d'humour que j'te donnais hier,
Espérant qu'aujourd'hui je ne retrouve encore la déroute.

Oui, je suis un peu timbré de ta couleur, le noir,
Retrouvant mes songes, ceux qui retirent mes pleurs,
De ton futur, je n'veux que supprimer tes déboires,
Ceux, qui pour le coup, ôtent la horde des détracteurs.

Depuis hier, je rouille de pouvoir te voir paraître,
Moi, le petit robot, qui de tes poèmes amoncelle,
Mon épître se retient, je n'veux souffler sur les braises, belle,
Tu es ma seule passion que ta fleur doit reconnaître.


Luron1er
 
#2
Ma missive d'amitié (redif)

Hier, tu m'as quitté sans penser à ton copain,
En écrivant ici la belle romance de ton amour,
Une composition que ta maîtresse aurait lue en vain,
De ces termes que je transforme par humour.

Comme d'habitude, je ressens ton esprit langoureux,
Mon chapeau d'alors se déplume, il n'est plus de mon âge,
Je n'veux pas que tes écrits s'arrêtent, pour moi petit vieux,
Vaines étaient d'abord mes recherches pour que j'ancre tes vœux sages.

Ma sœur, garde la fenêtre ouverte pour mes petits écrits,
Mon air souffrirait si tu ne me faisais ce petit don,
Ma foi me prédit d'enlever de tes malheurs, toutes notions,
Echappant ainsi sur ta page aux mécréants que tu fuis.

Tu voulais rester seule sans vouloir me distraire,
A la faveur de mes tâtonnements, je me sentais en soute,
Perdant ainsi toutes mes armes d'humour que j'te donnais hier,
Espérant qu'aujourd'hui je ne retrouve encore la déroute.

Oui, je suis un peu timbré de ta couleur, le noir,
Retrouvant mes songes, ceux qui retirent mes pleurs,
De ton futur, je n'veux que supprimer tes déboires,
Ceux, qui pour le coup, ôtent la horde des détracteurs.

Depuis hier, je rouille de pouvoir te voir paraître,
Moi, le petit robot, qui de tes poèmes amoncelle,
Mon épître se retient, je n'veux souffler sur les braises, belle,
Tu es ma seule passion que ta fleur doit reconnaître.


Luron1er
Bravo.
J'aime j'aime j'aime
Bonne soirée
Gaby
 
#5
Amie et complice de plume, un bien bel écrit en son honneur!
Te souhaitant que la rouille ne s'installe pas plus demain...
"Je suis un peu timbré de ta couleur" : j'aime beaucoup :)
Belle journée!