Trou balourd. (pastiche)
Décrochée du sang du suaire,ainsi soit-il,
Semer sa foi par des trêves affermies,
Avec la ferveur de l’élève farceuse, docile,
Hagarde d’un brasier, évitant la pandémie.
Arriver à pieds par une cote trop dure,
Moi seul je suivis, par une anecdote de cactus,
L'humour n'est pas qu’une narration, qu’une armure,
C’est l’osmose qu’on déjoue deux sœurs d’un lapsus.
Comme gladiateur, racole moi pour cette partouse,
Mon charme démêlera tes poings, il est pour toi,
Dans les draps, j’ai morflé, enlevant ta blouse,
A cet égard, seul l’ami coquin ré agit pour toi.
Tous les jours sous un soleil de plomb,
Dormant dans ta chambre, délie les mots, les blancs,
Au temple de ton village, entre maux navrants,
Avec tous mes bruits, mes mots coulent sans cancan.
Décrochée du sang du suaire,ainsi soit-il,
Semer sa foi par des trêves affermies,
Avec la ferveur de l’élève farceuse, docile,
Hagarde d’un brasier, évitant la pandémie.
Arriver à pieds par une cote trop dure,
Moi seul je suivis, par une anecdote de cactus,
L'humour n'est pas qu’une narration, qu’une armure,
C’est l’osmose qu’on déjoue deux sœurs d’un lapsus.
Comme gladiateur, racole moi pour cette partouse,
Mon charme démêlera tes poings, il est pour toi,
Dans les draps, j’ai morflé, enlevant ta blouse,
A cet égard, seul l’ami coquin ré agit pour toi.
Tous les jours sous un soleil de plomb,
Dormant dans ta chambre, délie les mots, les blancs,
Au temple de ton village, entre maux navrants,
Avec tous mes bruits, mes mots coulent sans cancan.