Je ne peux oublier mon amour cette fête
Qui nous unit le jour dans le souffle du vent
Dans mon cœur ébloui par une âme parfaite
Gloire à toi Valentin ô mon charmant prophète !
Quand on prend du plaisir à s’aimer si souvent
Dans nos corps réveillés sans aucune défaite.
On est dans le silence à défier l’ennui
Au bord de l’océan où l’astre de la nuit
S’invite à notre table.
Sous la voûte céleste on écoute le temps
Le chant d’une guitare égalant le printemps
D’un festin véritable.
Maria-Dolores
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