Un ramage s’éclaire aux jours
Quand la lueur suit la pénombre
Aux cris d’enfant sur simple cours
Un ramage s’éclaire aux jours,
S’éternisent d’autres discours
Alors, nul n’inspire plus l’ombre
Un ramage s’éclaire aux jours
Quand la lueur suit la pénombre.
Quand la lueur suit la pénombre
Aux cris d’enfant sur simple cours
Un ramage s’éclaire aux jours,
S’éternisent d’autres discours
Alors, nul n’inspire plus l’ombre
Un ramage s’éclaire aux jours
Quand la lueur suit la pénombre.
L’abîme est fuyant pour toujours
Et le soleil luit sans encombre,
Les éclats de voix rendent sourds
L’abîme est fuyant pour toujours,
Les roulis de leurs grands tambours
Avec la lune oublient le sombre,
L’abîme est fuyant pour toujours
Et le soleil luit sans encombre.
Et le soleil luit sans encombre,
Les éclats de voix rendent sourds
L’abîme est fuyant pour toujours,
Les roulis de leurs grands tambours
Avec la lune oublient le sombre,
L’abîme est fuyant pour toujours
Et le soleil luit sans encombre.
Maria-Dolores